Deux hérons, majestueux et gracieux, se dressent sur un papier coréen texturé, tel un écho aux estampes japonaises d’antan. Derrière eux, se dressent les vestiges d’une présence humaine. Des structures fantomatiques, aux formes indéterminées, semblent former un abri fragile et délabré. Comme une toile de fond oubliée, elles rappellent l’empreinte du temps et la nature éphémère de l’existence humaine.