Un pinson, peint sur du papier coréen puis collé sur la toile, occupe le centre de la composition. L’oiseau semble protégé par une structure architecturale imposante, composée d’éléments qui évoquent des vestiges anciens. La perspective marquée attire le regard vers le point de fuite, créant une sensation de profondeur et de mystère. La toile joue sur le contraste saisissant entre la nature fragile et vulnérable représentée par le pinson et la puissance de l’architecture. L’oiseau semble isolé et vulnérable face à l’immensité des structures architecturales qui l’entourent.